Kendra s'était lancée dans le porno il y a peu, non pas tant en raison de la plastique de son visage -elle était mignonne, mais sans plus- que de ses seins, dont la taille avait toujours fasciné autour d'elle, et on peut vous l'assurer, pas que les garçons de son lycée. Même ses copines ne pouvaient s'empêcher de les observer avec un mélange de fascination et de dégoût... Elle avait tout essayé pour les cacher, du corset jusqu'aux pulls difformes, mais rien n'y faisait ; le regard de ses interlocuteurs, dès la première interaction, se fixait irrémédiablement sur ses obus, ses pastèques, ses ballons de baudruche, appelez-les comme vous voulez mais le fait est qu'à partir de ce moment fatidique, il lui était tout simplement impossible de tenir une conversation dans des conditions normales avec qui que ce soit... 

Il ne lui restait plus alors que l'option de l'opération, sauf que nous étions aux Etats-Unis et qu'une opération de ce type, même en invoquant le handicap physique ou social, ne lui serait certainement pas remboursée. 

C'est alors qu'elle avait pensé à faire de ce handicap un atout. Quitte à ne pas parvenir à les cacher, autant les exposer au grand jour et même en tirer profit. C'est sûr qu'avec une telle paire de nibards, on lui déroulerait le tapis rouge dans le porno. L'objet de curiosité qu'elle avait toujours été se transformerait bientôt en star. 

Cet après-midi était une belle après-midi. Le soleil reflétait sa lumière dorée sur l'eau de la piscine, cette piscine dans laquelle elle allait dans quelques minutes se baigner, avant qu'un homme ne vienne hôter le bikini qu'elle enfilait dans sa loge. Cet homme, elle ne le connaissait pas. En fait, elle ne l'avait même jamais vu de sa vie. Mais les modalités du contrat, elles, étaient claires : c'était sans capote. Elles les avaient accepté, ces modalités, même sans tests préalables. L'argent et cette obssession pour la réussite lui en avaient déjà fait faire, des choses... 

Aussi, il faut bien le dire, le fait est que depuis toute petite, elle avait une libido un peu différente des autres. Petite fille, pendant que ses amies jouaient à la poupée, Elle passait des heures durant à osculter et à triturer ses parties génitales, malaxant son clitoris assise, les jambes écartées, devant le miroir. Il lui arrivait aussi d'imaginer des scènes avec des garçons un peu plus âgés. Des scènes ou ils étaient tout nus et lui montraient leurs quequettes. Quand ses amies dessinaient des fleurs et des coeurs, elle dessinait des prostituées sur des feuilles qu'elle prenait toujours soin de dissimuler au fond de son coffre à jouets... Elle prenait toujours soin de dessiner chaque détail de leurs tenues sans équivoque, à 8 ans déjà, oui. Oui, Kendra, en plus de la disproportion de sa poitrine, était nymphomane, à croire que c'était un signe du destin et qu'elle était naturellement taillée pour ce métier... 

Alors autant vous dire que se faire troncher en long, en large et en travers dans cette piscine n'était pas pour lui déplaire... Se faire troncher dans toutes les positions immaginables, et pourvu que Fred, le caméraman avec lequel elle travaillait depuis un certain temps enchaîne les gros plans sur sa poitrine monstrueuse. Malgré un cahiers des charges assez strict, il accédait à pas mal de ses demandes. C'est qu'ils étaient assez complices, tous les deux... 

En fait, elle s'était fait du one shoot une règle d'or avec les hommes avec lesquels elle tournait : ne tourner qu'une seule fois avec eux et ne plus jamais les revoir. Même lorsqu'ils fourraient leurs grosses bites entre ses deux nichons, sa position fétiche. Interdiction de les revoir, sous aucun prétexte. Interdiction de s'attacher... La passion, elle le savait, lui serait fatale, dans ce milieu. 

Avec Fred, c'était différent. Elle le laissait s'approcher assez souvent, et même caresser ses seins, car il était gentil. Il prenait souvent sa défense et veillait toujours à ce qu'on la traite avec un minimum de respect, lui accordant des pauses régulières entre les prises. 

Kendra enfilait donc son bikini rose fushia, ne sachant pas trop à quelle sauce elle allait être mangée, dans cette piscine, débordant de fantasmes toujours inassouvis, et c'était tout l'objet du porno, en fait... Et c'était cette incertitude qui précisément l'excitait. Ne pas savoir dans quels bras elle allait attérir cette fois encore.