Il est très tentant de se dire que certains ne méritent pas la beauté physique ou la finesse d’esprit qu’ils recèlent, n’appréhendant pas le dixième du quart de l’intelligence matricielle dont celles-ci proviennent ; Des animaux dénués de toute réflexivité ne réagissant qu’aux stimuli extérieurs. C’est à cet instant précis que l’on est pris du vertige de l’insignifiance de l’humanité.
